message posté le 20 oct 2013 à 01h26
Si le pays a une capacité d'accueil, on peut accepter une partie, si il y en a pas assez, on accepte juste une très petite partie.
Pour la Suisse, personnellement j'imposerais un taux de croissance de population de X, d'une manière calculée à être adapté au au nombreuses personnes qui vont arriver en retraite. Et ensuite avoir un taux adapté à la capacité du pays. Et on accepterait les immigrés de sorte qu'il complète l'accroissement. Et bien sûr, pour les réfugiés, on aurait une capacité à part.
Et oui, si tout à coup dans 50 ans, l'Asie aurait appauvri le reste du monde et qu'on serait dans la merde en Europe, qu'on aurait tous 30% de chômage, on serait content de pouvoir espérer une nouvelle vie ailleurs. Mais espérer une nouvelle vie ailleurs, il faut montrer qu'il est motivé. On va pas dans le pays X en espérant toucher une rente qui permet de vivre mieux que ici, sans rien faire.... Pour autant, il faut des aides pour s'intégrer. (Genre pas comme en Suisse ou l'aide c'est la nuit t'es au centre, la journée, t'as 10 balle pour le menu de midi et autres activité (donc t'as que le menu de midi en gros). Tu veux bosser pour gagner un peu d'argent, mais surtout pour occuper la journée au lieu de se faire chier? Non, t'as pas le droit. Ton seul droit, c'est d'aller dealer, te battre, bref, les seuls activités que tu peux avoir. Au lieu d'engager ces personnes même pour un salaire de 20-30chf par jour (ramassage de papier, vider des poubelles, repeindre un mur, etc, juste pour leur permettre de manger un truc à midi et faire un truc le week-end, et pour les occuper et de manière à ce qu'ils apportent quelque chose à la société....
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